Si c'est un homme

Primo Levi y décrit la folie meurtrière du nazisme qui culmine dans la négation de l'appartenance des juifs à l'humanité. Le passage où l'auteur décrit le regard de ce dignitaire nazi qui lui parle sans le voir, comme s'il était transparent et n'existait pas en tant qu'homme, figure parmi les pages qui font le mieux comprendre que l'holocauste a d'abord été une négation de l'humain en l'autre.

Coup de coeur :

Si c'est un homme est plus qu'un témoignage. C'est le récit d'un homme qui, confronté à un processus implacable de déshumanisation, cherche à comprendre l'âme humaine dans toute sa complexité.